Valérie Bonneton

Valérie Bonneton

L’envie de plus de nature


FAIS PAS CI, fais pas ça, les Petits mouchoirs, la Ch’tite famille, Garde alternée ou encore Nous finirons ensemble, sont autant de feuilletons et de films qui ont installé Valérie Bonneton dans le cinéma français. Et pour se ressourcer entre chaque tournage, c’est près de Pont l’Evêque qu’elle s’est établie. 


Enfant, vous étiez scolarisée dans un pensionnat à Deauville. Quels souvenirs en gardez-vous ?


D’excellents souvenirs, vraiment ! Je suis arrivée à Deauville dans une très bonne ambiance, avec des gens gentils, c’était bon enfant. C’était vraiment chouette. Et le lycée était sur la plage. Je venais de découvrir la Normandie. Je venais depuis toute petite près de Dozulé. Tous les ans, on y allait en vacances, on avait une grande famille. C’était super ! 


Vous évoquez fréquemment votre attachement à la Normandie.

 

Pour moi la Normandie, c’est la pêche, la nature, le charme, l’authenticité, le terroir, les bons produits, la vie. Je suis très attachée à la nature. J’avais une maison au bord de la mer. C’était merveilleux mais il y’avait beaucoup trop de monde. Aujourd’hui, j’ai une maison près de Pont l’Evêque et je suis dans la nature. Je suis toujours éblouie quand j’arrive. J’adore, j’adore, j’adore !

La plage est aussi mon endroit favori. J’adore quand la marée est basse ! A Trouville et Deauville j’aime le marché, mais pour me promener, je vais plutôt dans la campagne à Beuvron en Auge par exemple. J’aime bien aller à l’Auberge des deux tonneaux, à côté de chez moi, à Pierrefitte en Auge. Et il y a tellement de beaux produits en Normandie qu’ici je cuisine très facilement.


Présenter en avant-première Nous finirons ensemble, au Morny de Deauville, a-t-il eu une saveur particulière ?


Bien sûr, évidemment. Quand j’arrive à Deauville, je me sens chez moi. Je suis contente, je suis fière d’être là, je suis fière de montrer le film aux côtés de Guillaume Canet.


Que souhaitez-vous que le cinéma vous apporte, aujourd’hui ?


J’ai envie de faire autre chose. J’ai envie de changement, c’est vrai. J’ai toujours autant envie de faire rire car je ne peux pas m’en empêcher, mais là par exemple, je vais faire le film de Marc Dugain, Eugénie Grandet d’Honoré de Balzac, aux côtés d’Olivier Gourmet. Ce n’est pas du tout une comédie et j’en suis très heureuse car j’ai envie de faire des choses différentes.



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